Rien n’est cassé (mais tu ressens un désir silencieux)

Rien n’est cassé (mais tu ressens un désir silencieux)

Partie 1 d'une série en deux volets sur l’éveil de l’âme, dédiée à celles dont la croissance ne commence pas par une crise — mais par un désir silencieux de quelque chose de plus.

Ceci s’adresse à celles qui n’ont pas touché le fond… mais qui ont quand même senti quelque chose bouger — un murmure qui disait : « Il y a plus que ça. »

Il y a quelque chose que j’ai remarqué — en moi, et chez beaucoup de femmes avec qui je travaille.

Nous n’avons pas connu de moment de chute totale.
Pas de grand traumatisme. Pas d’effondrement public. Pas d’histoire du type « j’ai tout perdu et je me suis reconstruite à partir de rien ».

En réalité, sur le papier, tout semblait bien aller.
De la gratitude pour la vie. Une famille aimante. Une carrière ou un rythme de vie plutôt stable.

Et pourtant… quelque chose sonnait faux.
Pas assez pour appeler ça un problème.
Juste ce ressenti subtil, persistant : Il doit y avoir plus que ça.

Pendant longtemps, j’ai mis ce sentiment de côté.
Je me disais : Tu vas bien. Sois reconnaissante. Ne complique pas les choses.
Et honnêtement, je ne pensais pas avoir « mérité » le droit de demander du soutien — pas comme quelqu’un qui traverse une vraie tempête.

Qui étais-je pour vouloir un coaching, une thérapie ou une guérison… alors que, techniquement, tout allait bien ?

Mais c’est là le piège.

Quand rien ne semble cassé, on ne se donne pas la permission de chercher le changement.
On attend que ça empire. Vraiment.
Qu’un événement dramatique survienne.
Qu’il y ait une « bonne raison » socialement acceptable de vouloir plus.

Et c’est une vraie perte. Parce que l’âme, elle, n’attend pas le désastre.
Elle murmure. Elle remue. Elle pousse doucement, dans les moments de calme — et si on n’est pas attentives, on rate l’invitation.

Avec le recul, je vois que certaines des décisions les plus puissantes que j’ai prises ne venaient pas d’un lieu de crise.
Elles venaient de la curiosité. Du désir.
De cette vérité subtile mais sincère : « Je ne suis pas en train de m’effondrer, mais je sais que je ne me sens pas pleinement vivante non plus. »

Alors je te le dis, si toi aussi tu ressens ça :

Tu n’as pas besoin d’être brisée pour demander plus.
Tu n’as pas besoin d’une histoire spectaculaire pour avoir envie d’être soutenue.
Tu n’as pas à justifier ton désir de grandir, d’être vue, d’exister pleinement.

Ce désir silencieux ? Il suffit à lui seul.

Peut-être que ton âme est prête.
Peut-être que toi, tu es prête.

Et je te le promets — ce genre de chemin est tout aussi sacré,
si ce n’est plus encore.

Parce qu’il faut un courage immense pour chercher du soutien dans un monde qui a une infinie compassion pour les héro·ïnes qui renaissent de leurs cendres —
mais peu de place pour celles et ceux dont l’histoire paraît trop ordinaire pour faire le buzz.

Je célèbre ma vie extra-ordinaire, et la tienne.
Et surtout ton courage de rester curieuse et d’oser aller vers plus.

C’est avec cette compréhension que je crée tout ce que je propose —
des retraites, du coaching, des ateliers — pour l’éveil sacré de celles et ceux qu’on dit « ordinaires » mais dont l’âme sait qu’il y a plus.

Si quelque chose résonne en toi… viens voir ce qui t’appelle.
Tu n’as pas besoin d’autorisation. Tu as juste besoin de dire oui.

✨ [Lien vers les retraites + accompagnement]

Retour au blog

Laisser un commentaire

Veuillez noter que les commentaires doivent être approuvés avant d'être publiés.